Odoxa
30/06/2022
Société
Pour la FG2A et Europe 1

L’inflation impacte lourdement la consommation en France et en Europe

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92 %

92% des Français et 89% des Européens sont inquiets concernant à la fois le niveau de l’inflation dans leur pays et son évolution dans les mois à venir.

Français et Européens sont aussi 9 sur 10 à dire que leur pouvoir d’achat a déjà été impacté par la hausse des prix et près de la moitié d’entre eux a déjà modifié son comportement de consommation.

6 personnes sur 10 en France et en Europe ont ainsi beaucoup diminué leurs dépenses de biens de consommation courants, et 4 sur 10 ont beaucoup diminué leurs achats de produits alimentaires.

Odoxa-Graphique-Pourcentage
Odoxa-Graphique-Pourcentage
63 %

Près des deux tiers des Français (63%) qui avaient prévu de partir en vacances cet été disent avoir modifié leurs plans pour les vacances à cause de l’inflation dont un quart qui ont purement et simplement renoncé à partir en vacances cet été.

48 %

Immobilier, épargne, mobilité, tous les domaines sont concernés par cette hausse de l’inflation :

Près de la moitié des locataires et des accédants à la propriété ont peur de ne pas pouvoir payer leur loyer ou rembourser leurs traites.

36% des Français assurent que leur épargne a déjà été impactée par cette situation.

Et un Français sur deux (48%) assure avoir, soit déjà changé ses habitudes de transport (33%), soit avoir prévu de le faire dans les mois à venir (15%).

61 %

Pourtant, les Français comme les Européens ne veulent pas que l’on réduise notre soutien à l’Ukraine et les sanctions contre la Russie afin de faire baisser l’inflation en Europe. 61% de Français comme d’Européens estiment au contraire qu’il faut encore soutenir davantage l’Ukraine en durcissant les sanctions contre la Russie même si cela augmente encore la hausse des prix en Europe.

Dans son « œil de l’expert » notre partenaire Patrick Raffort, le président de la FG2A, craint que cette situation de tension liée à l’inflation ne réactive ce qu’il appelle « le paradoxe assurantiel » qui fait que « c’est justement au moment où elles sont/seraient les plus nécessaires que les acteurs tendent à recourir le moins aux assurances ».

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