Les Français souhaitent s’impliquer dans une solidarité « sans contrainte » et être acteurs de leurs dons

48% des Français pourraient participer à des activités de solidarité bénévoles ou associatives… mais seuls 16% le font aujourd’hui.

S’ils ne sautent pas le pas, c’est en priorité par manque de temps (67%, notamment les plus jeunes) et parce qu’ils ne veulent pas prendre un engagement formel (59%, surtout les plus âgés).

Ils se montrent en revanche très volontaires lorsqu’on lève les contraintes d’engagement : 8 Français sur 10 seraient intéressés par au moins une des actions « ponctuelles » de solidarité testées dans notre sondage (journées d’actions environnementales, événements de partage des compétences professionnelles, challenges solidaires, chantiers de restauration du patrimoine…).

Dans les prochaines années, les Français comptent privilégier les dons à des personnes en difficulté de leur entourage (71%, +7 pts), à des associations locales (54%, +4 pts) et pour des causes très ciblées (53%, +3 pts).

La générosité des Français a continué de progresser en 2025 : leur don moyen a augmenté de 16€ (222€) et a retrouvé son niveau d’avant la crise sanitaire.

Dans son œil de l’expert, Jérôme Daguet, CEO de Leetchi observe que « l’envie de solidarité est toujours là (d’ailleurs, l’engagement dans la solidarité est trois fois inférieur au niveau qu’il pourrait atteindre), mais il est urgent d’inventer de nouveaux moyens d’engagement, plus rapides, plus immédiats, plus concrets. »